La cour d’appel de Kinshasa Gombe s’est finalement prononcé mardi 15 juin au sujet du procès en appel de vital kamerhe et consorts.
En effet, la peine de 20 ans infligée au départ à l’ancien directeur de cabinet du chef de l’État Vital Kamerhe a été réduite à 13 ans de travaux forcés.
Quand à son coaccusé Samih Jammal, lui, écope désormais de 6 ans de travaux forcés.
Accusé de détournement des deniers publics dans le cadre du programme dit de 100 jours du chef de l’État, Vital Kamerhe et ses avocats avaient fait appel pour contester le verdict rendu au premier degré, condamnant le président national de l’UNC à 20 ans de travaux forcés.
source: courrierdupeuple243.com
